Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.41c, le 29/04/2025. Vous pouvez le télécharger sur ce site.
KAMOUN "BENKEMOUN" Judas Note :
|
Soldat de 2ème classe à l'école militaire préparatoire de Koléa (EMP Koléa). Date du jugement déclaratif de décès le 12 février 1965. |
Caporal Fourrier au 2ème Régiment de Marche Afrique. |
Soldat au 9ème Régiment de Marche de Zouaves. |
Déporté par le convoi 3 parti de Drancy le 22 juin 1942 et arrivé le 24 juin 1942 à destination. |
Déporté de Drancy par le convoi 53 du 25 mars 1943. |
Déporté de Toulouse par le convoi 81 du 30 juillet 1944, il fut rapatrié de Buchenwald, atteint de typhus. Il a survécu à la Shoah. |
Note :
|
Acte de Naissance N° 613 Mariée le 6 avril 1922 à Paris avec Germaine, Henriette, Elise STEINMEITZ. |
Note :
|
Massacré le 29 mars 1944 à Saint-Médard-d’Excideuil en Dordogne, victime civile. Judas Kalifat fut l’une des nombreuses victimes de la division Brehmer en Dordogne. Du 26 mars au 2 avril 1944, la division Brehmer, ou division B de l’initiale du patronyme de son chef, le général Brehmer, accompagnée par des éléments de la Sipo-SD et de la Brigade nord-africaine et bénéficiant de renseignements collectés par desdélateurs, collaborationnistes ou non, et par l’administration de Vichy, traversa le département de la Dordogne, traquant les maquisards et massacrant des civils en représailles dans le cadre d’opérations de répression, mais aussi en conduisant une politique génocidaire à l’encontre des nombreux Juifs réfugiés dans le département. Les hommes furent abattus parce que Juifs et les femmes et les enfants furent souvent arrêtés, transférés à Drancy puis déportés vers les centres de mise à mort,Auschwitz-Birkenau principalement. En zone dite libre puis zone sud, les Juifs avaient été recensés en application d’une loi de Vichy du 2 juin 1941, le jour même de la promulgation du second statut des Juifs ; un recensement spécifique des Juifs étrangers intervint en janvier 1942;enfin, une loi de Vichy du 11 décembre 1942 imposa en zone sud la mention « juif » sur la carte d’alimentation et sur la carte d’identité des Juifs français et étrangers. Judas Kalifat était le fils de Moïse et de Diem Messouday. Il avait épousé Julie Boumendy. Réfugié de Paris, il était domicilié à Saint-Médard-d’Excideuil. Après avoir consulté en mairie les listes des étrangers et des juifs et vérifié les identités, les Allemands arrêtèrent plusieurs Juifs dont Judas Kalifat qui fut abattu vers 17h15 au lieu-dit les Charreaux. Trois de ses fils furent déportés. Gilbert, qui naquit le 4 août 1926, fut déporté par le convoi 81 ; il fut rapatrié de Buchenwald, atteint de typhus. Édouard, né le 2 août 1922, fut déporté par le convoi 53, tandis que Maurice, qui était né le 16mai 1910, fut à son tour déporté par le convoi 62. Ce dernier avait été un des instigateurs, à Drancy, du percement du tunnel qui devait permettre l’évasion des internés, tentative qui avait malheureusement échoué. Ce même jour, deux Juifs ont été arrêtés à Excideuil et deux autres à Saint-Médard-d’Excideuil puis fusillées, ce même jour, en divers lieux. Il s’agit de Michel Leibovici, arrêté à Excideuil, qui a été fusillé à Corgnac-sur-l’Isle, de son gendre,Gerson Jacob Makowski, qui a été fusillé à Brantôme (lieu-dit Besse de Courrières), d’Eugen Ochs et de Jacques Meyer, qui ont été fusillés, aussi à Saint-Médard-d’Excideuil (au lieu-dit Gacherie). Bernard Reviriego, Dominique Tantin |
Marié le 29 septembre 1932 à Villeparisis 77270 Seine-Et-Marne, Île-De-France, avec Odette Alice BROC. |
Déporté de Drancy par le convoi 62 du 20 novembre 1943. Il avait été un des instigateurs, à Drancy, du percement du tunnel qui devait permettre l’évasion des internés, tentative qui avait malheureusement échoué. |
Déporté par le convoi 3 parti de Drancy le 22 juin 1942 et arrivé le 24 juin 1942 à destination. |
Mariée avec un LEVY. |
Note :
|
Acte de Naissance N° 482 |
Zakia et ses enfants, Huguette, Robert, Georgette et Gilbert, furent arrêtés à Lyon le 8 juillet 1944. Ils furent internés puis transférés le 24 juillet 1944 au camp de Drancy où ils arrivèrent le 29 juillet 1944. Ils furent tous les cinq déportés par le convoi 77 du 31 juillet 1944. |
Soldat de 2ème classe, matricule 1890 au 3ème régiment de Zouaves (3e RZ). |
Son épouse se nommait Paulette de BEER. |
Il arrive en France en 1930 et est engagé à l'Opéra de Paris le 09 septembre 1938. Sous l'Occupation, il quitte Paris pour Marseille et s'installe au 33 rue du Musée. Il est alors engagé au Théâtre de l'Opéra de Marseille. Il est arrêté sur dénonciation lors d'une rafle avec sa mère le 22 janvier 1943. Il est incarcéré à la prison des Baumettes à Marseille. Lors de son transfert en train vers Paris, il parvient à s'évader en sautant du wagon en marche. Il est recueilli par un admirateur, Monsieur Durif, qui l'aide à obtenir de faux-papiers. Il retourne à Marseille, où il rejoint sa femme et son fils cachés au lycée musical de la ville par la directrice, Madame Josuan. La famille part ensuite se cacher en Ardèche jusqu'à la Libération de Paris, sous la protection des F.F.I.. Après la guerre, il reprend ses activités à l'Opéra de Paris et à l'Opéra Comique à Paris. Il chante jusqu'en 1956, date à laquelle il devient directeur de la scène de l'Opéra Comique puis metteur en scène et directeur de tournées. |
Soldat de 2ème classe, matricule 387 au 1er régiment de Zouaves (1er RZ). |
Soldat de 2ème classe à la 10ème section d'infirmiers militaires (10e SIM). |
Note :
|
Acte de Naissance N° 102 |
Soldat de 2ème classe, matricule 759 au 3ème régiment bis de Zouaves (3e RbZ). |
Il habitait au 58 avenue du Général Michel Bizot à Paris 12ème. Léon, Gisèle et Mireille sont arrêtés ensemble. Il est déporté de Drancy par le convoi 48 du 13 février 1943. |
Elle habitait au 58 avenue du Général Michel Bizot à Paris 12ème. Léon, Gisèle et Mireille sont arrêtés ensemble. Gisèle est déportée avec sa fille Mireille de Drancy par le convoi 47 du 11 février 1943. |
Mariée avec un SULTAN. |
Caporal au 4ème R.Z. Régiment de Zouaves, Infanterie |
Zouave au 4ème R.M.Z.T., 4ème Régiment Mixte de Zouaves et Tirailleurs |
Il habitait au 3 rue Ventadour à Paris 1er. Déporté de Pithiviers par le convoi 35 du 21 septembre 1942. |
Déportée de Drancy par le convoi 61 du 28 octobre 1944. |
Note :
|
Acte de Naissance N° 15 |
1ère section de commis et ouvriers militaires d'administration (1re COA). |
Note :
|
Acte de Naissance N° 176 |
Note :
|
Il était polytechnicien, ancien élève de Sup élec, cousin de David Lelluch, Alfred Lelluch était ingénieur en chef de la radiodiffusion française. Il se maria le 11 janvier 1938 à Paris, VIe arr. avec Mauricette LOEWY. Ils eurent un enfant. Sous-lieutenant de réserve en 1922, il fut promu capitaine en 1936. Il obtint le Légion d’honneur en juillet 1939. Capitaine commandant de la 2ème Compagnie radio des armées, il dirigea ensuite les services techniques de la radiodiffusion nationale à Toulouse dont il fut radié selon l’application des lois raciales. Il fut ensuite recruté comme ingénieur aux laboratoires radio-électrique à Royat, société créée par Mario Nikis et rapatriée en Auvergne. Il entra dans la Résistance fin 1942 ou début 1943. François Devèze, chef de la "chaîne Duvenois", le désigna comme directeur technique de la radiodiffusion insurrectionnelle. Il mit en fabrication ou détourna de leur destination plusieurs dizaines d’émetteurs provenant des laboratoires radio-électriques de Clermont-Ferrand. Il organisa la livraison de ce matériel avec l’accord de son directeur, Mario Nikis, qui fut comme lui arrêté par la Gestapo. Il organisa la répartition des émetteurs radio sur l’ensemble du territoire pour permettre à laradio de se faire entendre dès le départ de l’ennemi, malgré la destruction presque totale de son réseau national. Arrêté le 15 mai 1944, à son domicile 83 rue Blatin à Clermont-Ferrand, il fut transféré à la prison allemande du 92 R.I. pour être interrogé et torturé par la Gestapo et la milice, il resta silencieux. Il a été fusillé, de nuit, sommairement, sanscondamnation, à l’aérodrome d’Aulnat dans le Puy-de-Dôme le 28 juillet ou le 2 août. La première date est retenue par ses proches dont sa fille Josette Lelluch-Mérigeau. Son corps fut retrouvé avec celui d’autres résistants le 22 novembre 1944 dans des trous de bombardements sur l’aérodrome d’Aulnat, en banlieue de Clermont-Ferrand. Les corps avaient été enterrés là par les Allemands. Il fut élevé à titre posthume au grade de lieutenant-colonel des FFI, homologué Forces françaises combattantes (FFC), Déportés et internés de la résistance (DIR), Forces françaises de l’intérieur (FFI). Une plaque commémorative est toujours visible au 15 rue Cognacq-Jay à Paris, ancienne adresse de la Radio. Le local portait le nom de Centre Alfred Lelluch jusqu’à sa vente. Une plaque figure sur le campus de l’École supérieure d’électricité, plateau de Moulon, à Gif-sur-Yvette depuis le transfert dans les années 70 de Sup. élec. Paris. Son nom figure dans la liste du Mémorial de la Shoah établie par Serge et Béate Klarsfeld, ainsi qu’à Clermont-Ferrand sur le Tableau commémoratif de l’Atelier Industriel de l’Aéronautique et à Palaiseau sur le Monument commémoratif de l’école polytechnique. De janvier 1946 à l’Indépendance, une grande artère d’Alger (ancienne rue de Constantine) a porté le nom d’Alfred Lelluch. Claude Pennetier |
Il habitait au 71 rue de la Convention à Paris 15ème. Déporté de Drancy par le convoi 53 du 25 mars 1943. |
Elle habitait au 71 rue de la Convention à Paris 15ème. Déportée de Drancy par le convoi 53 du 25 mars 1943. |
Déporté de Drancy par le convoi 57 du 18 juillet 1943. |
Déporté par le convoi 35 parti de Pithiviers le 21 septembre 1942 et arrivé le 23 septembre 1942 à destination. |
Mariée avec un LEVY. |
Déportée de Drancy par le convoi 48 du 13 février 1943. |
Maurice est arrêté le 15 juillet 1943, à la suite d’une opération de police allemande de contrôle d’identité en gare de Lyon Perrache. Le 9 août, sa mère écrit au Maréchal Pétain, dans l’espoir d’obtenir sa libération. Transféré dans le camp de Dra ncy le 30 juillet 1943, Maurice est déporté par le convoi 59 du 02 septembre 1943 vers Auschwitz-Birkenau. Il est transféré le 29 janvier 1945 à Mauthausen (soudeur). Il décède peu avant la libération du camp autrichien, en mai 1945. |
Déportée de Drancy par le convoi 53 du 25 mars 1943. |
Mariée avec un WERINGER. |
Déporté par le convoi 1 parti du camp de Royallieu à Compiègne le 27 mars 1942 à destination du camp d’Auschwitz-Birkenau. |
Déporté de Drancy par le convoi 59 du 02 septembre 1943. |
Mariée avec un ZERBIB. |
Habitait au 54 rue St Jean dans le 5ème arrondissement à Lyon. A été internée le 25 juillet 1944 à Drancy sous le matricule 25859, déportée par le convoi 77 du 31 juillet 1944. |
Déporté de Drancy par le convoi 48 du 13 février 1943. |
Déporté de Drancy par le convoi 59 du 02 septembre 1943. |
Note :
|
Acte de Naissance N° 715 |
Il a été arrêter par les Allemands et a disparu. |
Il a été interné à Drancy puis déporté à Dora. |
Note :
|
Acte de Naissance N° 53 |
Sapeur au 2ème R.G. Régiment du Génie. |
Mariée avec un ENNOUCHY. |
Mariée avec un COHEN. |
Déporté de Drancy par le convoi 70 du 27 mars 1943. |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.41c, le 29/04/2025. Vous pouvez le télécharger sur ce site.