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SOUSSAN "BENSOUSSAN" Léon Note :
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Acte de Naissance N° 2560 |
Mariée avec un SERANO. |
Note :
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Fusillé, étudiant, résistant FTP-MOI. Il était installé en métropole sous la fausse identité de Roland Levernay, il commit plusieurs attentats contre la Gare du Sud et une centrale électrique, tout en sabotant des véhicules allemands. Poursuivi par des policiers français après sa dernière action terroriste, il parvint à se dégager à coups de revolver et de grenade, blessant deux d’entre eux le 29 juillet 1944. Capturé place Franklin par des GAPPF, il fut remis à la police allemande de Nice. Condamné à mort par une cour martialeallemande le 7 août, il fut conduit au vallon de La Faïssa et fusillé par un peloton du 8e régiment de grenadiers. L’Éclaireur de Nice, dans son édition du 9 août, précisa après le communiqué allemand : « L’individu qui vient d’être exécuté appartenait à la pire espèce des terroristes : ceux qui affament la population. En plus de sa participation à des attentats à main armée, il avait fait sauter à la Gare du sud des locomotives qui permettaient notre ravitaillement. Il avait en outre blessé des représentants français du service d’ordre. Il s’était donc exposé délibérément au châtiment le plus sévère ». Jean-Louis Panicacci |
Soldat au 3ème Régiment de Zouaves. |
Acte de Naissance N° 162 |
Zouave au 3ème R.M.Z. Régiment de Marche de Zouaves, Infanterie |
Mariée avec un DREYFUS. |
Acte de Naissance N° 941 |
Soldat au 4ème Régiment de Zouaves |
Déportée de Drancy par le convoi 52 du 23 mars 1943. |
Déportée de Drancy par le convoi 62 du 20 novembre 1943. |
Déportée de Drancy par le convoi 63 du 17 décembre 1943. |
Déportée de Drancy par le convoi 77 du 31 juillet 1944. |
Déporté de Drancy par le convoi 3 du 22 juin 1942. |
Diplômé de la faculté de médecine de Paris. |
Son épouse se prénommait Yvonne. |
Déporté de Drancy par le convoi 63 du 17 décembre 1943. |
Déporté par le convoi 35 parti de Pithiviers le 21 septembre 1942 et arrivé le 23 septembre 1942 à destination. |
Note :
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A l’été 40, lors de la défaite de l’armée française, la famille Stora fut une première fois dispersée, les parents et Robert partis de Paris en voiture parvinrent à gagner Limoges (Haute-Vienne) pour y rejoindre les neveux et nièces de Rose Stora. Le père Abraham et Robert y restèrent tandis que la mère retournait à Paris retrouver ses deux autres fils et reprendre son activité de courtière en assurances. Dans le courant de l’année 1941, devant la montée des politiques antisémites, la famille connut une deuxième dispersion. Le plus jeune fils André fut caché, après avoir été baptisé dans une famille d’agriculteurs du Jura, la mère Rose Stora vint s’établir à Lyon (Rhône) pour tenter de poursuivre sous un nom d’emprunt son métier de courtière en assurances à l’Urbaine Capitalisation. Abraham Stora resté à Limoges avec son fils Robert, avait pris en charge dès l’été 40 ses neveux et nièces, développant avec eux sur le marché de Limoges, alors qu’il était auparavant bijoutier, uncommerce de fruits et légumes. Robert Stora poursuivit ses études à Limoges travaillant par ailleurs avec son père comme commis-livreur. Il fit apposer la mention juif sur sa carte d’identité le 15 janvier 1943. Avec la montée des persécutions, lafamille quitta Limoges pour se réfugier à Solignac (Haute-Vienne). Fin 1943 - début 1944, sans que la cause en soit connue, Robert Stora fut interné au camp de Saint-Paul-d’Eyjeaux (Haute-Vienne). Il profita de la libération du camp par la Résistance, le 11 juin 1944, pour gagner le maquis. Il s’engagea dans la Résistance au sein du 6ème bataillon FTPF sous les ordres du commandant « Jacquot » devenant infirmier auprès de son groupe FTP. A la mi-juillet 1944, le commandement allemand organisa une campagne de répression contre les forces de la Résistance en Limousin. Venues de Limoges et soutenues par des membres des 1re et 3e Centaines de la 2e Cohorte de la Milice française, des unités allemandes, appartenant au groupement Ottenbacher (95ème Régiment de Sécurité) tentèrent d’éliminer les maquis du Mont Gargan (sur la commune de Saint-Gilles-les-Forêts en Haute-Vienne), commandés par le colonel FTPF Georges Guingouin. Les 17et 18 juillet 1944 de violents combats se déroulèrent autour de Saint-Gilles-les-Forêts. Robert Stora fit partie d’un groupe de 14 volontaires commandés par le Lieutenant Jeandoux qui avait reçu l’ordre de Georges Guingouin de se porter au cimetière de Saint-Gilles. Violemment attaqué à l’entrée du village, le groupe se replia sur Meilhac avant l’encerclement total. Robert Stora capturé fut fusillé à la Forêt-Haute. La famille Stora réunifiée s’installa à Lyon après la guerre et Robert Stora fut inhumé en 1946 au Cimetière juif de Lyon, rue Abraham-Bloch. Il obtint la mention Mort pour la France. Son nom figure sur le monument aux Morts 1939-1945 du Jardin d’Orsay à Limoges. Il est également inscrit avec ceux de sept autres maquisards (et deux victimes anonymes) sur une stèle commémorative à Saint-Gilles-les-Forêts au bord de la D 39A, à 1km du bourg vers Sussac (Mont Gargan), stèle portant l’inscription « Aux Maquisards tombés le 18 juillet 1944 - Passant souviens-toi ». Bernard Pommaret, Michel Thébault |
Son épouse se prénommait Mireille. |
Déporté de Nice le 10 novembre 1943, puis vers Drancy par le convoi 62 du 20 novembre 1943. |
Déporté de Toulouse par le convoi 81 du 30 juilet 1944. |
Déporté par le convoi 35 parti de Pithiviers le 21 septembre 1942 et arrivé le 23 septembre 1942 à destination. |
Note :
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Acte de Naissance N° 730 |
Il habitait au 12 rue Auber à Nice. Il est interné avec son épouse à Drancy, sous le matricule 7857, le 10 novembre 1943. Ils sont déportés par le convoi 62 du 20 novembre 1943. |
Interné au camp de Royallieu. |
Déportée de Drancy par le convoi 70 du 27 mars 1944. |
Note :
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Acte de Naissance N° 624 |
Elle habitait rue de Livarot à Saint Jacques dans le Calvados. Internée à Drancy sous le matricule 12773 le 27 janvier 1944 puis déportée par le convoi 67 du 02 février 1944. |
Note :
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Ses parents, qui habitaient à Marseille (Bouches-du-Rhône), furent pris dans une rafle et déportés, Haïm pour Sobibor le 23 mars 1943 et Esther pour Auschwitz-Birkenau le 31 juillet 1943. Ils ne revinrent pas. David Tanzi habitait 154 Groupe Clovis Hugues, La Belle de Mai à Marseille et était coiffeur. Il se réfugia à Romans-sur-Isère (Drôme), puis s’engagea dans la Résistance et rejoignit le Vercors, secteur 8 de l’AS-Isère, où il intégra la Compagnie Abel au sein du 12ème Bataillon de Chasseurs Alpins reconstitué. Il fut fait prisonnier le 31 juillet 1944 à Saint-Guillaume (Isère) alors qu’il tentait de gagner la vallée du Drac après l’ordre de dispersion donné le 23 juillet 1944 par le chef militaire de Vercors, François Huet. À la nuit, il fut conduit avec plusieurs autres résistants arrêtés, au lieu-dit Loche, sur le bord de la Gresse. Là les résistants furent attachés deux à deux puis sommairement exécutés de dos. Le 17 août 1944, au lieu-dit "Loche", disent les actes de décès, sept cadavres furent découverts. Toutes les victimes portaient des traces de balles dans la nuque. L’un des actes de décès rédigés le 18 août 1944, le numéro 5, contient les indications suivantes : « Individu de sexe masculin dont l’identité n’a pu être établie et dont la mort paraît remonter à quinze jours, présumé célibataire, dont le signalement est le suivant : Âgé d’environ vingt ans, mesurant un mètre soixante-quinze, vêtu d’une chemise bleue, d’un chandail en laine grise des chantiers, d’un pantalon de golf, d’une ceinture, chaussé de bas gris et chaussinettes, souliers jaunes anglais. Un jugement du tribunal civil de Grenoble rendu du 10 janvier 1945 reconnut en cet inconnu David Tanzi. Il obtint la mention "Mort pour la France". Il est désormais enterré dans la Nécropole Nationale de Saint-Nizier-du-Moucherotte (Isère), tombe 79. Son nom figure sur le monument commémoratif érigé hameau du Lombardier, commune de Saint-Guillaume et sur le monument aux morts 1939-1945 de Saint-Guillaume (plaque apposée sur la façade de l’église). Robert Serre, Jean-Luc Marquer |
Déporté de Drancy par le convoi 52 du 23 mars 1943. |
Chef de bataillon au 126ème Régiment d'Infanterie (126ème RI). Commandant d'infanterie. Tombe glorieusement en Artois. |
Soldat de 2ème classe au 2ème bis Régiment de Zouaves. |
Acte de Décès N° 2333 |
Services pour faits de résistance. |
Soldat de 2ème classe au 9ème Régiment de Zouaves (9ème RZ). |
Services pour faits de résistance. |
Services pour faits de résistance. |
Soldat de 2ème classe au 2ème Régiment de Marche d'Afrique. |
Soldat de 2ème classe au 328ème Régiment d'Infanterie (328ème RI). |
Mariée avec un ASSARAF. |
Note :
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Acte de Naissance N° 174 |
Note :
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Acte de Naissance N° 138 |
Mariée avec un BOAZIZ. |
Déporté de Compiègne par le convoi 1 du 27 mars 1942. |
Transféré de Drancy vers Beaune la Rolande en mars 1943. |
Déporté par le convoi 35 parti de Pithiviers le 21 septembre 1942 et arrivé le 23 septembre 1942 à destination. |
Il habitait au 108 avenue de Saint-Ouen à Paris 18ème. Déporté de Drancy par le convoi 36 du 23 septembre 1942. |
Mariée avec un BEN-HAIM. |
Il habitait au 3 rue Ventadour à Paris 1er. Déporté de Pithiviers par le convoi 35 du 21 septembre 1942. |
Interné à Drancy puis vers Aurigny, il est inscrit sur la liste 641 de travailleurs rapatriés de Cherbourg, il est hospitalisé en 1944 à l'hôpital Rothschild à Paris. |
Mariée avec un COHEN. |
Arrêtée le 26 juillet 1944 à Lyon par la Gestapo puis déportée de Lyon par le convoi 78 du 11 août 1944. |
Sapeur au 2ème R.G. Régiment du Génie. |
Acte de Naissance N° 434 |
Déportée de Drancy par le convoi 52 du 28 mars 1942. |
Il habitait rue Portefoin à Paris 3ème, avec son épouse Valentine née Wolff. Il est déporté de Compiègne ou Drancy le 27 mars 1942 par le convoi 1. |
Grièvement blessé à Carency dans Pas-de-Calais. |
Zouave au 3ème R.M.Z.[Infanterie] Régiment de Marche de Zouaves. |
Note :
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Acte de Naissance N° 169 |
Elle habitait au 1 rue Fernand Labori à Paris 18ème puis déportée de Drancy par le convoi 76 du 30 juin 1944. |
Déporté de Lyon par le convoi 78 du 11 août 1944. |
Note :
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Acte de Naissance N° 1 |
Note :
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Ils habitaient au 59 rue Francis de Pressence à Saint Fons dans le Rhône. Il a été interné à Drancy le 20 juin 1944 avec sa femme et ses 11 enfants puis déporté par le convoi 76 du 30 juin 1944. Des parents et des 11 enfants, seuls Henri et Joseph reviendront de la Shoah, Henri fut assassiné pendant la guerre d'Algérie et Joseph est décédé en 2016. |
Société Saint-Gobain. |
Déporté de Drancy par le convoi 1 du 27 mars 1942. |
Jumeau avec son frère Isaac. |
Transféré vers Drancy le 20 juin 1944 et déporté par le convoi 76 du 30 juin 1944. |
Transféré vers Drancy le 20 juin 1944 et déporté par le convoi 76 du 30 juin 1944. Contraint a effectué une marche de la mort le 17 janvier1944. |
Déporté de Lyon par le convoi 78 du 11 août 1944. |
Jumeau avec son frère Haïm. |
Transféré vers Drancy le 20 juin 1944 et déporté par le convoi 76 du 30 juin 1944. |
Note :
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Acte de Naissance N° 60 |
Zouave au 4ème R.M.Z.[Infanterie] Régiment de Marche de Zouaves. |
Ces pages ont été fabriquées avec le logiciel Oxy-Gen version 1.41c, le 29/04/2025. Vous pouvez le télécharger sur ce site.